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Allons voir la mer !

 

Ce mardi matin , nous décidons d’aller voir la mer et de faire la route de la corniche qui va de St Jean de Luz à Hendaye.

Le temps semble à peu près correct et nous partons confiants.

Pour une fois le trajet est plutôt plat et nos jambes apprécient ce répit.

Nous arrivons bientôt en vue de Ciboure , petit port tout prêt de St Jean de Luz.

Le chant des grenouilles dans le marais salue notre passage et nous faisons halte à la citadelle de Socoa pour admirer le paysage .

 

Le ciel se fait plus menaçant et la Rhune disparaît dans un manteau de nuages noirs et menaçants.

 

Nous repartons vers la route de la corniche , accompagnés bientôt par la pluie et par deux colombiens à vélo , croisés à la citadelle.

Ils effectuent un périple à vélo à travers l’Europe depuis plus de deux mois !

Il y a des travaux et ça circule , vigilance de tous les instants !

Quel dommage que le temps soit bouché tout le long du parcours jusqu’à Hendaye et ses plages.

Qu’importe ! Les surfeurs sont au rendez vous et nous apercevons même une magnifique naïade

qui se prépare pour aller jouer dans les vagues.

 

Dans la ville nous sommes assez tranquilles , la saison n’a pas encore commencé.

Tout irait bien si nos GPS ne s’avisaient de nous conduire dans des sens interdits !

 

On finit par s’en sortir et nous prenons le chemin du retour qui nous réserve quelques surprises.

La première prend la forme d’un raidillon dès la sortie qui se cabre à plus de 15 % et surprend

tout le monde !

La seconde est l’annonce d’une route barrée que nous décidons d’emprunter quand même car c’est le circuit.

On finit par tomber sur un chantier de bitumage et nous mettons pied à terre pour respecter ce beau goudron tout frais.

Attention gravillons ensuite dans la descente : piano piano !

les filles quelque part entre Hendaye et Urrugne

Direction Urrugne où nous savourons une pause café, avant de reprendre la route de la Rhune

par le col de St Ignace.

Au sommet surprise ! Armelle et Claude Bellec ont la bonne idée de venir nous applaudir !

Petite causette avant la descente du col dont le dernier virage , bien humide, enverra Jean Noël

sur le bitume, heureusement sans gravité !

 

L’après midi fut consacrée à la flânerie sur la promenade de la plage de St Jean de Luz et à déguster une bonne bière en terrasse .

sur la promenade de St Jean de Luz

Le soir ce fut ambiance espagnole avec dress code rouge et noir !

L’animation était assurée par des musiciens et danseuses (castagnettes ) le tout en dégustant une méga paella !

 

méga paella

Ça tombe bien car le lendemain c’est journée en Espagne !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les filles à Ispéguy

En ce lundi matin du 10 juin , nous étions loin de nous douter du menu que nous avait

concocté Bertrand.

On avait les données de base : 116 km et environ 2300 m de dénivelé.

Nous enfourchons nos montures et attaquons vaillamment les premières pentes qui s’offrent

à nos destriers, pour atteindre bientôt la frontière espagnole. OOH !

Nous hésitons sur le chemin à prendre devant un portail où la route semble s’arrêter !

Nous suivons l’étendard de Dominique qui s’engage vaillamment dans la passe.

Après un arrêt pour ferrer une monture (traduire crevaison) nous nous élançons sur une route , que dis je , une piste qui ne tarde pas à se cabrer devant nous pour soudain nous tendre un piège sous la forme d’une portion traîtresse en béton rainuré en plein virage dans une pente à 17 %!

Certains passeront (les vttistes), d’autres chuteront ou mettront pied à terre avant de retrouver

un peu plus loin une zone propice d’où ils pourront repartir pour achever cette montée diabolique !

 

Nous n’étions pas au bout de nos surprises.

En effet la descente s’avéra tout aussi périlleuse, sur un revêtement qui mit nos nerfs et nos montures à rude épreuve (n’est ce pas Hervé ?),croisant au passage des ânes et autres animaux bêlants nous laissant un cortège de déjections que nous devions éviter au prix d’une conduite

tressautante et souvent instinctive, tirant sur les rênes pour freiner nos destriers.

 

Après ce menu éprouvant , c’est presque avec délice que nous retrouvons le bitume civilisé qui nous accompagne dans la montée vers le col d’Ispéguy que tout le monde gravit avec ravissement!

les gars au col d'Ispeguy

Après la photo, la descente pour rejoindre notre lieu de pique nique à St Etienne de Baïgorry

fut vite avalée au galop léger.

Nous attendait une magnifique aire de repos bien abritée que nos collègues en carrosse nous avait

trouvée.

Il y avait en particulier un magnifique pont Romain qui enjambait la Nive.

La panse bien garnie , nous reprenons notre périple, direction Irouléguy puis Saint Jean pied de port.

C’est pratiquement plat pour le retour nous avait dit Bertrand , on va longer la Nive !

 

Confiants , nous enfourchons nos montures pour conclure cette chevauchée.

Mais bien vite les premières difficultés se dressent devant nous et nous obligent à éperonner vigoureusement nos destriers pour franchir le Pas de Roland.

De véritables montagnes russes se succédaient à un rythme effréné et bien vite nous fûmes en quête d’un estaminet pour étancher notre soif !

Nous dûmes cependant ronger notre frein pour cause de fermeture de plusieurs stations d’abreuvage.

Nous débouchons enfin sur sur un relais surplombant la Nive.

Deux manants que nous interrogeons à ses abords nous confirment qu’il est ouvert.

Qu’elle fut bonne cette bière dégustée sous une glycine centenaire !

sous la glycine

Après cette halte salutaire , nous étions prêts à terminer notre chevauchée, non sans avoir admiré la Nive à Itxassou, esquivé la montée d’Espelette grâce à notre pisteur Alain , filé voir la Nivelle à Ainoha, et fait silence à Cherchebruit, heureux de rejoindre enfin notre écurie.

 

Ce fut selon les dires de certains d’entre nous la journée la plus dure qu’ils aient jamais connue

sur un vélo.

 

Jour 1 : Comme les pros : on joue à dix de chute !

 

C’est dimanche et nous ouvrons nos fenêtres sur un ciel peu engageant.

Au petit déjeuner, pourtant la décision est vite prise : ON ROULE !

On est quand même venus pour ça !

Et nous voilà sur le bitume trempé, attentifs aux voitures qui nous semblent bien nombreuses pour un dimanche matin.

Elles se dirigent comme nous vers la frontière espagnole pardi !

Il y a même un car que l’on laisse passer respectueusement dans la montée du col d’Ibardin

et qui nous gratifie d’un coup de klaxon amical.

La montée s’est plutôt bien passée pour tout le monde .

Au sommet on aperçoit les magasins ouverts à la frontière et les stations essence, ce qui explique cette affluence de voitures.

Nous entamons la descente qui s’avérera moins amicale et plus périlleuse car elle enverra trois de nos collègues caresser le bitume , heureusement sans gravité.

Chacun reprend la route après avoir pris soin des blessés , mais l’heure est à la prudence !

Gégé lui n’a rien vu de tout cela et caracole devant , se demandant en bas ce qu’on peut bien fabriquer !

Regroupement général dans la localité de Xantelerreka(prononcer :chanter l’eurêka) ,briefing avec les filles et on repart ...

sous la pluie.

Un peu perdus et perplexes sur le chemin que nous propose le parcours GPS (bretelle en sens interdit), nous voyons arriver une voiture de la Guardia civil qui s’arrête devant notre groupe.

Il nous conseille un itinéraire plus sûr et nous repartons direction Etchalar avant d’attaquer la dernière montée (7,5 km) traversant les localités au nom pittoresque de Lakain Apezborro et

Gorosurreta.

La descente se fera toujours prudemment et c’est avec soulagement que nous rejoignons le camp de nos amis camping caristes pour savourer une bière et raconter nos péripéties de la matinée avant de regagner notre table au VVF.

 

Revigorés nous repartons car l’après midi s’annonce plus clément côté météo.

Direction la route des cîmes pour un périple de 57 km.

 

Nos blessés du matin sont passés par l’infirmerie et tout le monde semble d’attaque.

St Pée sur Nivelle ,Ustaritz ,Cambo les bains (pause fraîcheur) puis Espelette et d’autres villages aux noms impossibles à retenir sont avalés allègrement sous nos coups de pédale.

Notre périple se terminera finalement presque sous le soleil, non sans avoir franchi quelques côtes épicées du côté d’Espelette.

 

Après l’apéro sur le balcon de Monique et Christian , on se retrouve à notre table en espérant

que la météo du lendemain sera bonne car c’est journée pique nique et le menu s’annonce corsé !

 

Nous invitons tous les licenciés du Finistère à apporter leur soutien le samedi 22 juin prochain à France Alzheimer 29.

 

 

Les randonnées route et VTT se feront au départ du site du Moulin Neuf à Guipavas à partir de 8h00.

 

Circuit route : 20 - 53 - 75 - 109 km

Circuit VTT : 20 - 35 - 45 km

Marche :   7 - 11 km

 

 

Nous vous invitons à diffuser largement cette information et inciter vos licenciés à y participer.

 

Nous vous remercions de l'attention que vous porterez à ce message.

 

 

 

Le Président CODEP 29 FF Vélo

René LE LOC'H

Sortie CLUB du 25 mai 2024

 

Il régnait une belle effervescence dès 7 h ce matin sur le parking de la salle polyvalente !

C’est jour de randonnée à la journée et 35 participants rêvent d’en découdre avec les routes du Sud Finistère.

Cap au sud donc, direction LOCRONAN pour un départ vers 8h30.

 

Sur place , il fait un peu frais pour le sud et la météo pourrait être capricieuse.

 

Les groupes s’élancent , c’est parti pour 60 km environ pour les filles et 85 pour les gars, avec une variante concoctée par Marc pour ceux que les 150 km au total rebutaient un peu ;

tandis que les Vttistes se sont organisés des parcours de leur côté.

Bébert , privé de vélo par un méchant mal de dos, est présent avec son fourgon et assure

le suivi. Un grand MERCI à lui !

 

Le groupe des gars choisit de faire un petit détour par le phare d’Eckmühl et pose pour la photo.

Les filles du samedi et du dimanche ont apprécié de se retrouver ensemble .

Accompagnées de jean louis et jean Paul , elles ont savouré une pause café à Plogastel St germain.

 

Après quelques hésitations sur le parcours, nous finissons par arriver à Plouhinec où, sous une petite pluie orageuse, nous cherchons le CAFE DU PORT.

Après quelques recherches et conciliabules, nous finissons par le dénicher, contents de nous mettre à l’abri et un peu inquiets pour l’après midi.

 

Joyeuse ambiance , service sympathique et repas agréable, un bon rôti généreusement accompagné d’une sauce à l’ail.

 

Vers 14 h , c’est le moment de remonter sur nos vélos, le soleil est de retour et nous prenons piano piano , la direction de la pointe du Raz.

La baie des trépassés nous offre une belle descente puis une aussi belle rampe à fort pourcentage comme les côtes bretonnes savent en offrir.

Ail ail ail , dur le rôti !

 

Une pause à la pointe du Van s’impose !.

 

Puis la départementale 7 nous attend , avec un vent de travers qui forcit et nous contraint à nous organiser façon contre la montre par équipe pour atteindre Douarnenez.

 

Les jambes commencent à être lourdes et la route s’élève.

Petit briefing avant de bifurquer vers le Juch redouté de tout le monde.

Finalement il passe assez bien dans l’ensemble malgré un bon 11 % par endroits.

 

Reste une dernière bosse que certains ont choisi de contourner au prix d’une petite rallonge de

2 km.

C’est vrai qu’elle était difficile et qu’après 150 km chacun l’a gérée à sa main ou plutôt à sa pédale

avant de de retrouver Locronan avec toutes les équipes , contents mais fourbus.

 

Heureusement la troisième mi temps nous attendait en soirée , chez Gérard et Yvonne qui nous ont

accueillis comme toujours avec bonne humeur autour d’une table bien garnie où chacun a pu se raconter les anecdotes de la journée .

Les sujets de conversations n’ont pas manqué et les échanges furent très animés !

 

Merci à tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette journée qui donne envie de recommencer !

 

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Post-It Horaires

A partir du dimanche 23 juin

départ à 08h00 pour le groupe 1.